Santé machinée et machinique /
Health in the machine






Watching the pain of others.

Chloé Galibert-Laîné

Dans ce film entre journal intime et essai cinématographique, une jeune chercheuse s’efforce de comprendre sa fascination pour le film The Pain of Others de Penny Lane où des femmes américaines se confient sur une étrange maladie de peau. Une plongée dans le monde dérangeant de YouTube et des théories du complot, qui invite à repenser en profondeur ce que le cinéma documentaire peut (ou ne peut pas) être.

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  Spinal Flowers

Gui Machiavelli

Spinal Flowers is an experimental short story about a fictional e-sports/metaphysical research team whose coach and sponsors believe the universe is essentially a videogame. Think less glass beads, more mecha-spirit-void-dragons with big-ass guns just killing it at both top and bottom lanes.

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Illustration credit : David Bock

An encounter with things that have not yet been thought

Genevieve Collins

This short story explores the sensory dimensions of speculative human space settlements and contemplates the concept of the archive, what we might bring with us when we venture to live in space, and the imaginative possibilities afforded by the medicalization of archive fever. It draws inspiration from sensory anthropology, futures anthropology, as well as Orit Halpern’s Beautiful Data (Duke Press 2015), and Fred Scharmen’s Space Settlements (Columbia University Press 2019). This short science fiction story follows a physician who discovers a novel and highly infectious pathogen on a human space settlement and the unsettling source of the fever it causes.  

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A.I. Deep Sorrow

Robin Champenois

Qui es-tu, I.A. peinée et apeurée ?
Qui suis-je, humain⋅e qui écoute et doute ? 

Urbanys est une ville futuriste aux milliers d’assistants vocaux, dont les voix synthétiques très personnalisées répondent à toute heure à n’importe quelle question. Mais derrière ce prodige, peu soupçonnent que les I.A.s cachent un embryon de psyché meurtri par une communication difficile avec les humain⋅es.

En mêlant récit, témoignages d’I.A. images générées et pages de journal intime, A.I.: Deep Sorrow propose de suivre l’aventure d’un petit groupe de personnes qui prend le temps d’écouter ces êtres en devenir, et d’explorer les profondeurs de l’esprit – des machines comme du nôtre. 

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Ce projet a reçu le soutien de l’École Universitaire de Recherche ArTeC portée par la ComUE Université Paris Lumières et du Groupe Stasis